Vivre de lumière

La nourriture pranique, l’inédie, le bigu chinois ou le respirianisme ou encore le pain quotidien (Osiris) sont les concepts connus pour parler de ces gens qui seraient capables de se nourrir de lumière ou de photons.

Nicolas Chang nous invite à une réflexion intéressante sur ce sujet :

Le physicien allemand Fritz-Albert Popp a démontré que l’ADN produit des biophotons lorsque le sujet est soumis au stress. Ce qui veut simplement dire que l’être humain est capable de produire de la lumière de l’intérieur. Chaque cellule émet des électrons et peut échanger des informations avec les autres cellules. Le corps humain est un émetteur récepteur de photons et de biophotons.

Maintenant on peut imaginer que le déséquilibre produit par la surconsommation d’une part et l’horreur de la spéculation boursière sur les denrées alimentaires, peut provoquer l’arrivée d’être capable de réorganiser l’organisme vivant qu’est notre univers. Ceci dit il n’est pas dit que tout le monde doive devenir respirien mais que chacun peut prendre conscience que la partie visible de l’aliment est entourée d’une aura qui si elle est visualisée avec la conscience, peut libérer une énergie puissante.

En physique atomique on est capable d’extraire de l’énergie de grain d’uranium. En mâchant et en se concentrant sur la saveur d’un aliment on est aussi capable de libérer une grande quantité d’énergie. C’est un peu comme à l’image de l’homéopathie où plus l’élément est dilué plus il devient efficace. En diminuant la quantité de nourriture et augmentant la capacité d’absorber le souffle qui l’entoure il est possible de garder un poids stable.

Dans le principe du Bigu chinois, le jeûne n’est pas issu de la volonté de l’esprit, mais une aspiration spirituelle ou un état de grâce. C’est donc en quelque sorte de la biolumière émise par le corps qui est à la source de la vie humaine. On peut aussi appeler cela de la « lumière divine ».

C’est ici que se rejoignent la science, la philosophie et la religion.

Les plus éminents intellectuels en sciences médicales sont de plu en plus capables d’expliquer en détail ce qu’est la maladie, mais aucun d’eux ne peut vraiment expliquer le phénomène de la plus simple guérison. Ils ont développé des méthodes pour accompagner l’être à se guérir, mais le processus de guérison ne provient que de l’être lui-même.

La volonté alliée à la capacité de saisir l’expérience mystérieuse de la mutation constante et ce qui produit ce qu’on appelle de la magie.

Les maitres indous qui nous ont introduits à la méditation sur la lumière intérieure avec le troisième œil nous disaient bien qu’il ne s’agissait pas de la lumière du soleil.

Selon la science actuelle le cœur serait un organe qui possède une quantité gigantesque de neurones et peut-être celui qui produit le plus de biophotons.

Les biophotons qui nourrissent les respiriens sont donc certainement ceux qui sont émis par le cœur et dont la conscience est simplement faite de la reconnaissance. En acceptant la magie de la vie et le principe de la gratitude on se connecte à ce cœur qui émet une lumière intérieure si puissante qu’il devient possible de survivre sans s’alimenter.

La reconnaissance est à la conscience ce que le chocolat est à l’estomac. 

En travaillant sur l’idée de dire plus souvent « merci » à la vie on devient de moins en moins dépendant de l’extérieur et de plus en plus capable d’aider les autres.

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